VIDEO- BALANCE TON ANTISEMITE : "L’incendie de Notre Dame est une vengeance Talmudique… "
Voici ce que déclare Jean Marc Deparnay alias Jim Leveilleur sur son compte Tik Tok. Inciter à l’antisémitisme, au complotisme, c’est son truc, son fond de commerce.
"L'incendie de Notre Dame est une vengeance Talmudique…"
Voici ce que déclare Jean Marc Deparnay alias Jim Leveilleur sur son compte Tik Tok.
Inciter à l'antisémitisme, au complotisme, c'est son truc, son fond de commerce.@AmisDuCrif @GilTaieb @Le_CRIF @OfficialMimouna
BTA. pic.twitter.com/cdBMxNguAr— Jugé Coupable (@JCoupable) April 30, 2023
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https://twitter.com/JCoupable/with_replies?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor
Septembre 2020
Soral condamné pour avoir affirmé que l’incendie de Notre-Dame était un « projet » juif
Le polémiste d’extrême-droite avait imputé aux juifs l’incendie de la cathédrale. Il a été condamné dans trois dossiers différents à des amende
Nouveaux démêlés avec la justice pour Alain Soral. Le polémiste d’extrême-droite a été condamné ce vendredi 18 septembre à trois amendes, avec possibilité de prison en cas de non-paiement. Il lui est notamment reproché d’avoir imputé « aux juifs » l’incendie de Notre-Dame de Paris.
Les propos incriminés ont été tenus les 17 et 18 avril 2019 sur son site « Égalité et Réconciliation ». Le tribunal correctionnel de Paris a estimé qu’il était coupable de provocation à la haine en raison de la religion. Il devra payer 5.400 euros d’amende, à raison de 60 euros par jours pendant 90 jours.
Le polémiste, dont le véritable nom est Alain Bonnet, a également été reconnu coupable d’injure à raison de la religion, de contestation de crime contre l’humanité et de diffamation pour une vidéo du 16 avril 2019 baptisée « Soral en prison ». Là encore, il écope de 90 jours-amende à 60 euros.
Avril 2019
Dans une vidéo de 10 minutes diffusée sur YouTube jeudi 25 avril 2019 et reprise par le site Égalité & Réconciliation, Stéphane Blet, fait part de sa propre théorie sur l’incendie de Notre-Dame. Pour ce pianiste vivant à Istanbul et proche de la mouvance soralo-dieudonniste, tout est de la faute des Juifs. Esotérisme, numérologie, rejet du hasard, distorsion des faits, incrimination des « médias »… : la vidéo de Blet nous offre un cocktail associant tous les ingrédients nécessaires à la fabrication d’une théorie du complot. Au risque de se ridiculiser ?
Blet commence par dresser un parallèle entre l’incendie qui a ravagé Notre-Dame et un feu qui serait survenu le même jour à la mosquée Al-Aqsa, dans la Vieille Ville de Jérusalem :
« Le même jour, à la même heure, eh bien le symbole du christianisme Notre-Dame de Paris et le symbole fondamental pour les musulmans qui est la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem en Palestine occupée, prennent feu. Donc déjà, ça c’est la première chose. Demandez à un mathématicien les chances pour que cela se produise, vous n’allez pas être déçus. On se rend bien compte que dans les médias, on ne nous parle quasiment jamais de Al-Aqsa et du fait que ça se soit passé en même temps. Mais ça ce n’est pas étonnant ».
Problème : contrairement à ce qu’affirme Blet, la mosquée Al-Aqsa – considérée comme le troisième lieu saint de l’islam après La Mecque et Médine – n’a pas pris feu. En réalité, un incendie localisé et rapidement maîtrisé s’est déclaré dans une cabine servant de poste de surveillance à des gardes au niveau de la place Al-Marwani, située sur l’Esplanade des mosquées. Le bâtiment de la mosquée Al-Aqsa n’a jamais, de près ou de loin, été touché par cet incendie qui, selon le Waqf (qui administre le site), a été provoqué par l’imprudence de jeunes garçons.
Faisant feu de tout bois – si l’on permet l’expression –, Blet fait allusion à l’intervention de Benjamin Mouton, ancien architecte de Notre-Dame de 2000 à 2013, sur LCI, le 16 avril. Ce dernier, qui semble alors pencher en faveur d’une piste non-accidentelle (nous sommes alors seulement le lendemain du drame), s’est dit certes « stupéfait » par la propagation rapide du feu dans l’édifice. Il n’a toutefois affirmé à aucun moment qu’il s’agissait d’un « incendie criminel » comme tente de le faire accroire Stéphane Blet.
Stéphane BLET meurt le 7 janvier 2022 à Genève, en tombant du balcon de l’appartement de ses amis, situé au sixième étage. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide
BTA.
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