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samedi 20 janvier 2024

L'influenceuse Maeva Ghennam poursuivie pour menaces de mort et antisémitisme


La patronne d'agence d'influenceurs a confirmé ce vendredi 19 janvier au soir avoir porté plainte contre l'influenceuse Maeva Ghennam pour, entre autres, des "menaces de mort" à l'origine de "graves traumatismes psychologiques".

Magali Berdah s'engage dans un nouveau bras de fer judiciaire. Ce vendredi 19 janvier, la "papesse des influenceurs" a porté plainte contre son ancienne protégée Maeva Ghennam pour "menaces de mort, provocation à la haine raciale, cyberharcèlement, chantage et violences psychologiques", a appris BFMTV.com confirmant une information de Paris-Match.

Dans sa plainte, que BFMTV.com a pu consulter, la dirigeante de l'agence d'influenceurs Shauna Events accuse la personnalité forte des Marseillais sur W9 de "délits" commis entre le 10 décembre dernier jusqu'à récemment.


Quatre mois de conflits

En réalité, leur relation se serait brusquement rompue depuis les attaques du Hamas en Israël du 7 octobre.


L'influenceuse aux 3,3 millions d'abonnés sur Instagram, qui accuse également Magali Berdah de lui devoir de l'argent, n'a pas apprécié un voyage en Israël au début du mois de décembre de son ancienne patronne, qui soutient ouvertement Tsahal dans sa guerre dans la bande de Gaza.

Me David-Olivier Kaminski, qui défend Magali Berdah, a cité plusieurs vidéos où Maeva Ghennam l'insulte et la menace sur ses réseaux sociaux.

"Mes bébés, je suis trop énervée contre la grosse salope (sic) de Magali Berdah. Je suis trop énervée. J’ouvre mon téléphone là maintenant, je vois quoi? 'Oh je suis en Israël en train de soutenir ces meurtriers qui tuent les Palestiniens tous les jours'", s'est-elle par exemple insurgée sur Snapchat le 10 décembre dernier.

L'avocat a aussi transmis au parquet d'autres "stories" (publication éphémères, NDLR) ou captures d'écran caractéristiques, selon lui, de "menaces de mort, cyberharcèlement, extorsion, provocation à la haine raciale et violences psychologiques au préjudice de Magali Berdah".

De son côté, Maeva Ghennam a réagi à l'article de Paris-Match sur son compte Snapchat. "Elle me doit 500.000 euros, elle répond plus au téléphone. Bah oui je l'insulte, y'a quoi? (...) Voleuse, arnaqueuse (...) C'est pas la papesse, c'est la traitresse de l'influence", a-t-elle écrit.


De "graves traumatismes"

D'après Me David-Olivier Kaminski, sa cliente "souffre de graves traumatismes psychologiques dans la mesure où elle est la cible de ces individus pour des raisons purement éthiques, religieuses et raciales mais qu’elle est également vulnérable en raison des affaires judiciaires qui la préoccupent déjà".

Magali Berdah dispose effectivement d'une actualité judiciaire chargée. Outre des procès contre le youtubeur spécialisé dans l'actualité des influenceurs et stars de téléréalité Sam Zirah, elle fait l'objet de poursuites pour "banqueroute" et "blanchiment". Des accusations qui portent sur une société placée en liquidation judiciaire à l'été 2015. Elle devait être jugée lundi 18 décembre, mais son procès a été reporté au 30 septembre 2024.


Magali Berdah est également plaignante dans des affaires de cyberharcèlement. Dans ce dossier, le rappeur Booba a été mis en examen. Aussi, des peines allant jusqu'à huit mois de prison ferme ont été requises à l'encontre de huit prévenus.


par Sophie Cazaux et Théo Putavy, le 20/01/2024

sourcehttps://www.bfmtv.com/police-justice/magali-berdah-porte-plainte-contre-l-influenceuse-maeva-ghennam-pour-menaces-de-mort_AN-202401191022.html


dimanche 29 octobre 2023

L'influenceuse Maeva Ghennam sous emprise...

 

L'influenceuse Maeva GHENNAM (@Maevaghennam1) en panique suite à ses dernières déclarations incriminant Israël et son soutien à la « Résistance Palestinienne » du Hamas

Pour rappel : https://www.balancetonantisemite.com/2023/10/ces-influenceurs-aux-services-de-lislam.html

Elle persiste et signe, expliquant sa nouvelle stratégie conseillée par son avocat Ilyacine Maallaoui :

https://www.leparisien.fr/faits-divers/qualifie-de-defenseur-de-daech-un-avocat-va-deposer-plainte-contre-louis-aliot-02-08-2022-S4SD2MXQ2VBHZDOIIKD6ERN5EI.php

 

 
 

Voilà un aveu significatif qui raisonne comme une confirmation factuelle qu'il existe bien un « art » de la taqiya, c'est-à-dire du double discours de tromperie pratiqué sciemment par les plus influents de ces « Pro-Palestinens » afin de dissimuler vicieusement à l'opinion publique leurs véritables pensées, postures et objectifs, autrement dit pour tricher avec les gens qu'ils souhaitent rallier à leur cause mais aussi et surtout pour se dédouaner en se posant en victimes lorsqu'ils sont pris en flag.

Le fait-même qu'ils aient besoin d'y recourir et lui confèrent une telle importance (la sacralisant comme si elle était leur arme la plus précieuse) ne prouve-t-il pas à lui seul l'immoralité de leur cause et que eux-mêmes savent qu'elle ne pourrait être défendable sans donc cette taqiya d'inverseurs la moralisant et la légitimant mensongèrement aux yeux du grand nombre ?

Quiconque est honnête et de bonne posture, quiconque n'a rien à cacher de moralement répréhensible n'a pas nécessité de pratiquer le double discours et de tricher verbalement.


Nouvelles révélations à venir...

BTA

PS: A noter, Maeva Ghennam fait un don de 10000 euros Jawad Bendaoud, le « logeur de Daech »

youtube.com/watch?v=JlbQbz

vendredi 27 octobre 2023

Ces influenceurs au service de l'islam politique

 

 

Ils s'appellent Dylan Thiry ou Maeva Ghennam et ce sont des influenceurs puissants en France. Tous deux musulmans, ils ont pris position sur la guerre entre Israël et le Hamas mais aussi contre les positions de Magali Berdah qui n'a jamais caché de son côté le fait d'être juive et de défendre Israël, victime des attaques terroristes.

Dylan Thiry s’est par exemple amusé à effacer le nom « Israël » d’une carte du Proche-Orient en le renommant ce dernier « Palestine ». Mais ce n'est pas tout : il écrit par exemple « Les sionistes perdent leur sang-froid parce que, pour la première fois peut-être de leur histoire, l'opinion publique ne penche pas en leur faveur. Vous pouvez avoir Hollywood, les grandes entreprises, les médias et le gouvernement, mais je vous assure que vous n'avez pas le peuple. »

 
Dylan contribue également à la propagande pro-Hamas sur ses réseaux sociaux
 
Exemples :

 
 
 
De nombreuses vidéos en attestent.
Quelques extraits démonstratifs ci-dessous :
 
 

 
Converti à l'islam dès l'âge de 18 ans, il est dans la ligne des "Frères Musulmans" et met aussi sa notoriété au service d’un islam politique depuis de nombreuses années... un véritable petit soldat de ­l’islam politique à sa façon.
 

 
Exhibitionnisme religieux
 
 
 
Le voyeurisme sentimental n’empêche pas l’exhibitionnisme religieux, au contraire. Son compte Instagram regorge de posts prosélytiques. Sous tous les angles, à toutes les heures, on y contemple ­D­ylan Thiry en train de prier, jeûner, pèleriner. L’intéressé érige même sa foi en loi cardinale : « Dans la religion musulmane, rien ne passe avant Dieu, même pas un hobby, même pas tes parents, même pas tes frères et sœurs, rien. » En 2021, pendant le confinement, il réalise des lives – visio­conférences diffusées en temps réel – en compagnie d’un imam. Une trentaine de conversions virtuelles ont lieu en direct. Sur ses réseaux, il incite « toutes les femmes à porter [le voile] malgré le regard des autres ». « Seul le regard de Dieu importe au fond. Vous êtes belles, vous êtes pieuses, alors ne laissez personne vous empêcher de le porter ».
Un engagement qui n’est pas que virtuel puisqu'en novembre dernier Dylan T. participait à la Rencontre annuelle des musulmans du Sud à Marseille, ce rendez-vous où l’islam politique rencontre le rigorisme.
 
 
Son profil avait tout pour plaire à Tariq Ramadan, l’ambassadeur des Frères Musulmans visé par plusieurs plaintes pour viol. Dylan Thiry lui a offert diverses tribunes pour sa défense. Sa mère, raconte-t-il, a prénommé l’un de ses petits frères Tariq en l’honneur de l’islamologue suisse. Durant un de leurs échanges, le prédicateur controversé en a profité pour se victimiser et pour déverser, sans contradicteur, son fantasme d’un Occident raciste et colonial. Bilan : 143 851 vues sur YouTube. Une aubaine pour le gourou que plus personne n’invite. Comme lui, Dylan Thiry est friand de complots médiatiques. Très remonté contre Israël, il en dénonce « l’impunité », « à l’inverse de la pauvre Russie, accablée depuis l’invasion de l’Ukraine » : « Tout le monde est révolté contre la Russie. On leur stoppe tout. C’est dit partout que c’est injuste. Et pourtant en Israël, […] nos frères palestiniens sont tués du matin au soir. Et ça ne révolte personne. »


Made in Libanie
 
Pour coller à sa vision rigoriste de l’islam Dylan Thiry a renoncé, en 2021, à la téléréalité. Il entend désormais « donner l’exemple à sa communauté ». Ce qui, Dieu merci, ne semble pas inclure le drop shipping… Comme ses compères, le Luxembourgeois est amateur de cette pratique immorale consistant à vendre sur ses réseaux sociaux un produit bas de gamme à un prix largement supérieur à celui qu’on trouve ailleurs. Les codes promo donnent l’illusion de la bonne affaire. Récemment, l’influenceur s’est fait le démonstrateur de sacs rarissimes en provenance de « Libanie » (sic). Ce n’est pas parce qu’on entend sauver son âme qu’il faut se priver de gagner sa vie.

Le collectif d’Aide aux victimes d’influenceurs (AVI) surveille Dylan Thiry de près. Des internautes ont dénoncé sa vente d’écouteurs sans fil de la marque 21Pods. Il en faisait la promotion sans jamais mentionner en être le propriétaire. Selon l’AVI, des centaines d’acheteurs n’ont jamais reçu leur commande.

D’autres polémiques plus graves ont suivi. En novembre, Thiry a vanté les mérites de gélules censées détruire les « cellules cancérigènes » (sic), à grand renfort d’arguments complotistes : « C’est pas vendu en France ni en Europe, parce que c’est interdit, ils veulent pas. C’est beaucoup plus intéressant pour eux que vous alliez à l’hôpital et que vous payiez une blinde ». Une arnaque de plus. Heureusement pour Dylan Thiry, on dit qu’Allah rachète les péchés.



Le cas Maeva Ghennam 
 
 

Suivie par plusieurs millions d’abonnés, l’influenceuse Maeva Ghennam est en effet récemment montée d’un cran dans sa défense de la cause palestinienne en ligne. Ce mercredi, elle a même confirmé avoir choisi de quitter l’agence Shauna Events après avoir dénoncé les positions pro-israéliennes de sa fondatrice.

« Mes bb, j'ai pris une décision qui a été très dure pour moi. J'ai pris le temps de réfléchir et je pense que c'est la meilleure solution pour toutes les 2. Je veux juste que vous sachiez une chose, c'est que je n'ai pas l'argent dans le cœur". Elle précise alors quitter l'agence Shauna Events en raison de la guerre entre Israël et le Hamas : "Pour moi, mes principes, mes engagements passent au dessus d'un contrat… Je n'arrive plus, tout ce qu'il se passe dans le monde me fait trop de mal. Il faut faire des choix je les ai faits, ça me brise le cœur mais c'est le mieux pour toutes les 2. Elle défend les siens et c'est tout à son honneur, et les miens passent avant un contrat... ». 

Et l'influenceuse va encore plus loin, en partant dans une théorie complètement folle : "On en parle de tous les morts qu’il y a en Palestine ? On en parle du fait que, tous les jours, ils délogent des gens de leur propre maison, là où ils ont grandi, on en parle de tous ces morts là ? Alors oui, ça me fait de la peine tout ce qui s’est passé en Israël, mais ça me fait aussi de la peine pour ce qui se passe en Palestine. Moi je pense qu’ils (les Israéliens) étaient au courant qu’il y allait avoir cette attaque et ils ont laissé faire pour qu’après, qu’il y ait des représailles, et pour qu’il y ait encore plus de terrain, et qu’ils tuent encore plus les Palestiniens."

Et sur le conflit opposant Israël au Hamas, Maeva Ghennam assure que « l’islam ce n’est pas une religion de guerre, c’est une religion de paix ». « Les terroristes ne sont pas des musulmans », tonne-t-elle.

Sur son compte TikTok elle n'hésite pas à diffuser des fake news, apportant son soutien à la « résistance palestinienne » du Hamas.

 


 

De l'anti-sionisme à l'antisémitisme

 

Comme toute bonne antisioniste, ses déclarations antisémites coulent de sources : « Pour eux l'argent avant tout, même avant une vie. » Les vieux poncifs anti-juifs sont bien présents !


 
« Un complot pour enfoncer les Palestiniens » 😧

Au 14 octobre, l’ex-star des « Marseillais » s’exprime plus longuement. Son ton se durcit : « Moi, je suis contre les guerres, contre tout ce qui se passe, ce qui est arrivé à Israël. Y'a eu des morts, je suis pas du tout pour, je suis pas du tout d’accord avec ça » assure-t-elle, face caméra, réajustant machinalement son brushing soigné. « Mais s’il vous plaît, venez on se parle français » insiste Maeva Ghennam, puis, poursuivant : « On en parle de tous les morts qu’il y a en Palestine ? On en parle du fait que, tous les jours, ils délogent des gens de leur propre maison, là où ils ont grandi, on en parle de tous ces morts-là ? Alors oui, ça me fait de la peine tout ce qui s’est passé en Israël, mais ça me fait aussi de la peine pour ce qui se passe en Palestine. » avant d'ajouter : « Moi je pense qu’ils (les Israéliens) étaient au courant qu’il allait avoir cette attaque et ils ont laissé faire pour qu’après, il y ait des représailles, et pour qu’il y ait encore plus de terrain, et qu’ils tuent encore plus les Palestiniens ».

Des supputations infondées, non circonstanciées, confondant les services de renseignement israéliens extérieurs (le Mossad) et les forces armées israéliennes (souvent désignées sous l’acronyme Tsahal). 

Qu’importe le factuel, Maeva Ghennam répète ses idées à l’envie. « Pour moi, c’est un complot pour encore plus enfoncer les Palestiniens. »

Après ses déclarations controversées, Maeva Ghennam assure avoir reçu des messages injurieux, des menaces de mort. « Peut-être que je me trompe, mais j’ai le droit de dire ce que je pense » persiste-t-elle le 15 octobre. En parallèle, elle entreprend des démarches pour porter plainte pour harcèlement. À ce jour, la plainte n’a pas encore été déposée, étant « en cours de rédaction » car « complexe » indique son avocat, Ilyacine Maallaoui, au Parisien.


Contrat rompu

 


 
De son côté, sur les réseaux sociaux, Magali Berdah, réaffirme clairement, et régulièrement, son soutien pour Israël. « Je n’ai même pas les mots pour décrire ce qui s’y passe c’est tellement irréaliste, quel être humain peut torturer à ce point des femmes, des enfants, des vieilles personnes ? » réagissait-elle sur Instagram au lendemain des attaques du Hamas. Et de conclure : « Israël c’est la paix, l’amour et la diversité (…) La force d’Israël c’est de se relever. »

Suite à son soutien à Israel, Magalie Berdah se voit menacée de mort, de décapitation, comme elle nous le confie dans la vidéo ci-dessous :

 

 

Maeva Ghennam, suite aux positions pro-israélienne de Magalie Berdha, l'influenceuse pro-palestinienne décidait de rompre son contrât avec cette dernière.

Mercredi, Maeva Ghennam a confirmé avoir « décidé de quitter Shauna Events ».

« C’est une décision qui n’a pas été facile pour moi. J’en ai pleuré, j’en ai culpabilisé, ça a été très très dur » a-t-elle confié.

« Mes raisons, je les connais, elle les connaît » a ajouté l’influenceuse dans une story sur Snapchat et Instagram, assurant ne pas vouloir passer pour une « ingrate » et refusant de s’épancher sur les coulisses de cette rupture.

Cette fin de collaboration est en tout cas un énième coup dur pour Magali Berdah déjà lâchée par d’autres influenceurs dont Nabilla, une des doyennes le plus populaires du milieu.

 

Nous alertons, au regard de de phénomène, sur le risque préoccupant d'une démocratisation de la pratique d'une forme moderne de taqîya, par le canal de ces influenceurs participant à rendre passe-partout une idéologie islamiste à fond antisémite, laquelle restait jusque-là relativement circonscrite à une engeance de théoriciens du complot et tend alors à s'étendre à une autre fange de la population et à ouvrir à des jeunes malléables une voie vers la radicalisation.

 

BTA

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  Dimanche 18 novembre à Lyon, les activistes pro-hamas de "La Fosse aux Lyons", taguaient  les locaux du FSJU, pour protester con...