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mercredi 14 décembre 2022

On a retrouvé Boris Le Lay, le néonazi breton réfugié au Japon

Nous vous avions promis de belles surprises pour ces fêtes de fin d'année.

C’est dans cet immeuble de cinq niveaux que réside aujourd’hui le néonazi breton Boris Le Lay, à Kashiwa, dans la grande banlieue de Tokyo.


Son adresse avait fuité sur Internet. Nous sommes allé vérifier si la figure de proue du néonazisme francophone Boris Le Lay, multicondamné par la justice française pour haine et violence raciales, habitait bien dans cette ville de la grande banlieue de Tokyo.

« Oui, il habite ici. Mais il ne peut pas vous rencontrer maintenant ou aujourd’hui, il est très occupé. Je vais lui dire que vous avez cherché à le joindre. » Si aucun nom n’apparaît sur la porte ni sur la boîte aux lettres, à l’autre bout de l’interphone, une femme nous confirme en japonais ce qui a fuité sur Internet. Le néonazi breton Boris Le Lay, réfugié au Japon depuis plusieurs années, réside bien au deuxième étage de cet immeuble de Kashiwa, ville de la grande banlieue de Tokyo.

Yasumichi Noma


Le néonazi breton Boris Le Lay, condamné à de multiples reprises pour haine et violence raciales, n’intéresse pas que la justice et les services de police français. Les associations antiracistes suivent de près le dossier. En France comme au Japon, en particulier par Yasumichi Noma. Le tokyoïte, éditeur free lance, est le fondateur, en 2013, de Counter-Racist Action Collective (CRAC). Une association qui rassemble une centaine de militants et a commencé à se faire connaître il y a dix ans en organisant des contre-manifestations. À ce titre, le japonais suit lui aussi de près l’activité de Boris Le Lay et est régulièrement sollicité par des militants ou des journalistes français, dans un pays relativement clément à l’égard des racistes et antisémites, même si la législation tend peu à peu à se durcir.

Dans ce contexte, Yasumichi Noma est un relais précieux pour les militants français qui pistent Boris Le Lay à l’image de Ryôma Takeuchi, traducteur interprète. Faisant office de passerelle entre les deux pays, l’activiste franco-japonais espère constituer, aux côtés des associations antiracistes françaises, un dossier solide sur le néonazi breton avec un objectif : déposer, via Yasumichi Noma, une requête auprès du ministère de la Justice nippon.

Bien entendu nous l'avons contacté.
En direct : LA TRAQUE DE BORIS LE LAY !
@pcrehange aux cotés de Yasumichi Noma ( @cractyo )
sur les traces de Boris Le Lay.
Bravo à ses deux hommes pour leur persévérance.
AFFAIRE EN COURS...

BTA.




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