Vincent Reynouard qui espérait se faire oublier outre-manche se retrouvait bien malgré lui propulsé sur le devant de la scène. C'est ce que nous déclarions à la vue de la sortie du film "L'homme de la cave".
Reynouard à nouveau à l'écran, forçait les autorités à agir...
Le 19 MAI 2019 nous lui laissions un message :
"Nous avons contacté le CST (protection de la communauté juive en Angleterre) dirigé par Michael WHINE, membre également de la Commission Européenne contre le racisme. Ensemble, plus forts !"
Vincent Reynouard exilé en Angleterre ne risquait pas grand chose malgré les nombreuses plaintes à son actif, l'Angleterre ne faisant plus parti de l'Union européenne et le négationnisme n'y étant pas condamnable. Reynouard vivait des jours heureux entre négationnisme et cours de mathématiques.
Ses cours de mathématique et son élève juive
Mai 2019, Reynouard publiait une vidéo "L'élève juive et le Prof nazi"
Il y déclarait :
"Si tu savais qui est assis auprès de toi, le nazi négationniste, qui épaule une demoiselle juive pour qu'elle passe son bac.... C'est véritablement JOUISSIF ! Je me retrouve à enseigner les maths à une élève juive qui annote un passage sur le négationnisme. DE TELS MOMENTS JOUISSIFS SONT INCOMPARABLES !"
Ces mots étaient de trop, le nazi jubilait à en mouiller sa culotte !
Si n'importe quel élève pouvait rentrer en contact avec lui, nous le pouvions aussi. Nous décidions donc d'inscrire notre fille à ses cours. Il nous suffit de nous connecter sur 2 sites francophones pour tomber nez à nez sur la photo de profil de Vincent Reynouard qui avait simplement changé de prénom, pour celui de "Valentin" comme nous l'indiquions dans notre article du 9 novembre 2021 :
Nous avions donc récupéré le numéro de téléphone de Mister Reynouard. Il ne nous restait plus qu'à le contacter pour prendre un rendez-vous, pour le premier cours de notre "fille". Le piège était tendu, Reynouard venait de nous donner son adresse. C'est ainsi que nous contactions nos amis d'
Antisemitism.org qui transmettaient aux autorités anglaises. De notre côté, nous transmettions aux différents services en charge de cette affaire.
Alors non, contrairement aux délires et fantasmes de ses amis, le Mossad n'est pas à l'origine de la disparition de Reynouard mais Reynouard lui -même. Il aimait bien se mettre en scène, livrer ses moments d'intimité, comme avec cette photo prise devant chez lui :
Fantasmes et turpitudes
L'enlèvement, voir la mort de Reynouard
Affolée, la caste négationniste envisage le pire, même un assassinat ! BTA aurait enlevé ou tué leur mentor !
Plusieurs plaintes ont d'ailleurs été déposées concernant ces activistes au Q.I. d'huître et sur lesquels nous reviendrons...
Ce que nous pouvons affirmer à l'heure actuelle est que Jérôme BOURBON ment. Oui, comme à son habitude, le patron de Rivarol nous ment, est bien en rapport avec son ami Reynouard et se vend dans l'extrait ci-dessous
Pour Reynouard communiquer est essentiel. C'est ainsi qu'il décide de laisser une petite lettre racontant sa cavale. Petite lettre qui devrait être publiée demain en exclusivité dans le torchon Rivarol :
LETTRE DE VINCENT REYNOUARD
"Chers Amis,
Je vous donne enfin de mes nouvelles. Après avoir échappé de justesse à une arrestation, je vais très bien. Je suis logé dans une petite chambre et, le soir, je travaille quelques heures dans un établissement.
Le 25 octobre, deux inspecteurs ont frappé à la porte de mon domicile pour « parler à Vincent Reynouard ». Des inspecteurs qui veulent vous parler, je connais. En juillet 2010, à Bruxelles, deux inspecteurs m’avaient demandé de les suivre pour me parler et signer un papier. Je les ai suivis, j’ai signé. Le soir, je dormais en prison… Le 25 octobre dernier, j’ai donc joué le tout pour le tout en niant être Vincent Reynouard. J’ai expliqué qu’il était en France et qu’il reviendrait dans deux ou trois jours. Les inspecteurs sont repartis. Mais dix minutes après, ils tambourinaient à la porte avant de l’ouvrir, je ne sais comment. J’ai juste eu le temps de prendre une paire de chaussures et un disque externe de secours que je tenais prêt en cas d’urgence, et j’ai fui par derrière. J’ai dévalé l’escalier, sauté par-dessus un vélo qui obstruait les dernières marches, puis j’ai couru jusqu’à un jardin public. Là, je me suis débarrassé de la veste que les inspecteurs avaient vue, j’ai récupéré un masque facial qui traînait au sol et je suis parti vers le village voisin. Jusqu’au soir, j’ai erré… Je vivais un véritable film !
Une amie anglaise m’a recueilli. Au bout de trois semaines, elle m’a trouvé un travail chez un ami patron informé (partiellement) de ma situation, donc qui me paye en numéraire. J’ai ainsi pu m’acheter le strict nécessaire pour vivre (des sous-vêtements, un manteau, un pantalon, du nécessaire de toilette, une bouilloire et un bol…). Matin, midi et soir, je mange des Weetabix (NDLR : céréales de blé complet) avec du lait en poudre, car cela ne nécessite ni réfrigérateur, ni préparation, et c’est compact.
Combien de temps cela va-t-il durer ? Je l’ignore. Dans ma situation, je vis au jour le jour. Des amis ont débarrassé l’appartement où je vivais et ont entreposé mes affaires dans un endroit sûr qui m’est inaccessible.
Malgré tout, je ne regrette rien. Cette vie, je l’ai choisie. Je savais à quoi je m’exposais. Je m’étais toujours demandé ce qu’avaient pu ressentir les vaincus qui, en 1945, fuyaient après avoir tout perdu. Bien que ma situation soit infiniment moins tragique, je le vis un peu. L’expérience m’enthousiasme. Car le fait de vivre au jour le jour et de m’en remettre totalement à la Providence me donne une sensation de liberté immense, quasi infinie. Pour me reposer, n’ayant que très peu de moyens de distraction, je médite. Ces deux dernières années, j’avais beaucoup lu à ce sujet, mais sans jamais pratiquer, car entre mes cours et mes vidéos, je vivais à cent à l’heure. Désormais, seul dans ma chambre, je pratique.
Bref, je suis très heureux et je comprends parfaitement l’enseignement traditionnel selon lequel la situation extérieure n’est rien, c’est la façon dont l’esprit réagit qui est tout. A 52 ans, sans famille et recherché, je vis comme un étudiant désargenté. Je passerai Noël seul dans ma chambre, avec mes trois Weetabix et mon bol de thé. Je pourrais vouloir me pendre. Je pourrais me consumer dans la haine de mes adversaires. Or, mes adversaires, je n’y pense jamais ; ils n’ont été et ne sont que des instruments de la Providence. Encore une fois, je savais à quoi je m’exposais.
Je me souviens du professeur Faurisson qui, dans ses premières lettres, m’écrivait : […]"
Vincent REYNOUARD.
Vincent Reynouard vit ses dernières heures de liberté.
Nous avons fait notre taf. La justice terminera le sien.
Nous avons tenu notre promesse. Alors ? À qui le tour ?
BTA VEILLE. La bise !
PS: Jérôme, on pense à toi .
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