L'antisémite et homophobe a été condamné en appel, à 60 jours de prison ferme par le Tribunal cantonal vaudois. Alain Soral a été condamné, en appel, à 60 jours de prison ferme par le Tribunal cantonal vaudois.
L’idéologue d’extrême droite a été reconnu coupable de discrimination et incitation à la haine pour des propos homophobes envers une journaliste. En première instance, le Franco-Suisse n’avait été condamné que pour diffamation, s’en sortant avec des jours-amende. Le Tribunal cantonal a toutefois revu ce jugement à la suite du procès en appel, tenu la semaine dernière. À la demande du Ministère public, qui avait fait recours, les juges ont ajouté la discrimination et l’incitation à la haine, a relevé lundi le porte-parole du Parquet vaudois, Vincent Derouand, confirmant une information de la RTS. Alain Soral, qui peut encore recourir au Tribunal fédéral, était jugé à la suite d’une vidéo dans laquelle il traitait une journaliste de la «Tribune de Genève» et «24 heures» de «grosse lesbienne» et «militante queer», insinuant que ce dernier terme voulait dire «désaxée».
L’idéologue d’extrême droite a été reconnu coupable de discrimination et incitation à la haine pour des propos homophobes envers une journaliste. En première instance, le Franco-Suisse n’avait été condamné que pour diffamation, s’en sortant avec des jours-amende. Le Tribunal cantonal a toutefois revu ce jugement à la suite du procès en appel, tenu la semaine dernière. À la demande du Ministère public, qui avait fait recours, les juges ont ajouté la discrimination et l’incitation à la haine, a relevé lundi le porte-parole du Parquet vaudois, Vincent Derouand, confirmant une information de la RTS. Alain Soral, qui peut encore recourir au Tribunal fédéral, était jugé à la suite d’une vidéo dans laquelle il traitait une journaliste de la «Tribune de Genève» et «24 heures» de «grosse lesbienne» et «militante queer», insinuant que ce dernier terme voulait dire «désaxée».
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